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Noëllie Poulain

Née le 29/05/1991

Noëllie Poulain débute son parcours par la danse classique au Conservatoire de Toulouse. Puis poussée par son désir de découvrir de nouvelles formes d'expression corporelle, elle entre en 2007 au CNSMDP en danse contemporaine et y suit les cinq années d'études marquées par l'apprentissage d'un large répertoire et de nouvelles connaissances théoriques, et surtout en matière d'interprétation artistique, d'improvisation et de chorégraphie.

 

Elle s'essaye à la scène par le biais des ateliers chorégraphiques du CNSMDP dans lesquels elle interprète nombre de compositions des élèves, et pour lesquels elle écrit notamment le quatuor Tatakaï no taïko (tambour de guerre).

Elle rencontre également des chorégraphes, dont le japonais Yutaka Takei de la compagnie Forest Beats, avec lequel elle a continué de travailler quelques années. Sa dernière année au CNSMDP, appelée Junior Ballet lui permet de se produire en tournée dans des pièces de répertoire (Hofesh Shechter, Angelin Prejlocaj, Thomas Lebrun).

 

Touchée dès le début de ses études, par la puissance transmissive de la danse, elle obtient le Diplôme d'Etat de professeur de danse contemporaine au CND de Pantin en 2014, et y voit la possibilité de mêler champs chorégraphique et domaine pédagogique dans une même orientation.

 

Dans une optique de travail étroitement liée à la musique, elle écrit des compositions en collaboration avec le compositeur Benjamin Attahir, Les bruits imperceptibles dont est fait le silence, et travaille avec l'ensemble de musique contemporaine HANATSU miroir en collaboration avec différents compositeurs, dont une des dernières créations a été programmée à la Biennale de Venise en 2017.

 

Tout en dansant auprès de divers chorégraphes, Bruno Pradet, Tumulte (2020), Régis Obadia La dame aux camélias (2016) Bataille 93.03 (2018) Reine Margot (2019), elle intègre en 2016 la compagnie Graine de Moutarde avec laquelle elle monte plusieurs projets.

 

Intéressée par d'autres médiums artistiques, elle intègre à son travail chorégraphique, d'autres modes d'expression, arts plastiques, cinéma, etc. dans la problématique de toucher le public à partir d'un espace/temps différent que celui de la scène dite à l'italienne. Elle explore un mouvement et un déploiement dans l'espace qui laisse trace d'une certaine plasticité, et amène par le biais de la vidéo, une nouvelle appréhension du public que celle éphémère de la scène.

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Crédit photo Grégory Massat

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